12 December 2010

Work in Progress

Il y  a pas mal de dessins que j’aurais voulu terminer d’ici Noel, MAIS! Une fois n’est pas coutume, j’ai reçu une fantastique, que dis-je phénoménale traduction à faire! Nan, en fait c’est un vieux texte juridique tout pourri, où tu passes plus de temps à chercher le sens d’un mot qu’à finir un rubik’s cube. Et puis quand on sait que ces enfo.. euh, ces maudits clients ne payent que 5 mois après la date d’émission de la facture et que si tu le leur rappelles ils ne te recontactent plus, cela donne encore plus envie de bosser! M’enfin!!

Bon, ben en attendant, voici un mouton pas fini (une minibd suivra dans les prochains jours si j’ai le temps de la mettre en couleurs, sinon il faudra attendre), et puis une photo de Maya, juste comme ça, pour que vous vous rendiez compte de l’état second dans lequel je suis.

A plus les aminches!

 

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2 comments:

  1. En faite,je n'aurais jamais imaginé que ce soit aussi difficile d'etre payé pour son travail quand on est une tradutrice...
    cela dit,comme moi je suis une artiste sans le sou ,et que les rares fois où je vend quelque chose ,je suis souvent payé au lance-pierre (quand je me fait pas carrement voler ou arnaquer!!), je comprend fort bien ce que tu ressent et compathie sincerement..
    amicalement votre,
    Lenore

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  2. Tu sais, je crois que le métier de traducteur est assez similaire à celui d'illustrateur... Les meilleurs projets vont à ceux qui ont 30 ans de bouteilles ou aux plus connus, parfois le talent ne joue même pas!
    Il y a également beaucoup trop de concurrence, les petits nouveaux doivent se contenter des miettes pour presque rien et souvent ceux qui réussissent sont ceux (au choix), très chanceux, très connus, ayant eu un bon coup de piston, ou hyper talentueux (et chanceux, parce que tu peux avoir tout le talent que tu veux, mais sans aide c'est assez difficile de percer).

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